Aoi Bungaku Series

24.07.10 11:13

Aoi Bungaku Series

* Année de production : 2009
* Studio : Madhouse
* Genres : Drame, psychologique, surnaturel
* Auteurs : Dazaï Osamu, Soseki Natsume, Akutagawa Ryunosuke , Sakaguchi Ango (Romans)
* Première diffusion : 10 Octobre 2009
* Durée : 12 épisodes de 25 minutes
* Site officiel

Synopsis

Cet animé est l'adaptation de 6 classiques de la littérature japonaise :

Ningen Shikkaku (Dazaï Osamu, 1948) se situe dans les années 1930 et nous dépeint le parcours torturé d'un jeune homme asocial, hanté par son enfance et ses démons intérieurs. Côté réalisation, nous retrouvons ici la patte du mangaka de "Death Note" : une esthétique impeccable pour une plongée dans les noirceurs de l'âme humaine.

Sakura no Mori no Mankai no Shita (Sakaguchi Ango, 1947) présente l'histoire d'une jeune femme enlevée par un bandit ; après être devenue sa femme, l'épouse ne consentira à donner du plaisir à son mari qu'en échange de bien macabres présents. C'est Tite Kubo ("Bleach") qui s'atèle à ce volet, et tout en respectant l'oeuvre originale, il a adopté un ton plutôt décalé puisqu'au milieu de l'ambiance horrifique, il nous glisse des scénettes humoristiques plus ou moins improbables^^.

Kokoro (Soseki Natsume, 1914) nous ramène en 1914, dans une maison accueillant deux "sensei" bien différents mais convoitant la même femme. L'originalité de cette nouvelle est qu'elle nous offre successivement deux versions de son histoire, bien que la fin soit commune. Le parcours émotionnel des personnage est superbement rendu, notamment l'oppression que ressent le deuxième héros face à ses propres sentiments.

Hashire, Melos ! (Dazaï Osamu, 1940) suit la rédaction d'une pièce de théâtre sur un mythe grec, en écho à l'histoire personnelle de l'auteur lui-même. Et c'est ainsi qu'entre mythe et réalité, les sentiments se recoupent, autour du thème universel de l'amitié et de la trahison.

Jigoku Hen (Akutagawa Ryunosuke, 1918) dans lequel un seigneur commande à un artiste des peintures décrivant des scènes de l'Enfer bouddhiste ; le peintre en est incapable, ne l'ayant jamais vu de ses yeux, mais il va le découvrir... Car l'Enfer est ici celui de la folie créatrice.

Kumo no Ito (Akutagawa Ryunosuke, 1918) raconte la rencontre entre le bouddha Shakyamuni et un criminel sans-cœur au fin fond de l'Enfer ; cet individu n'a réalisé qu'une seule action altruiste de son vivant, en évitant d'écraser une araignée, mais ce simple geste est suffisant pour le bouddha qui souhaite sauver le misérable.

24.07.10 11:30

C'est une superbe serie, je n'est pas vue toute les adaptations (Hashire, Melos ! ; Kumo no Itoque que j'ai esquiver, oui oui jetter moi des cailloux)

C'est beaux, sa fait réfléchir que du bonheure :D

24.07.10 12:52

Ouais ca change des daubes a l'esprit aussi étroit que les petites culottes qu'ils nous montre ( et pourtant j'aime aussi allé comprendre !! Wink

en tout cas celui la je l'avais fini rapidement , et j'ai poussé le truc a le revoir!
du très bon comme dit plus haut.

24.07.10 13:19

Contente de voir que vous avez aimé vous aussi :-):

Là j'ai eu un gros plantage sur le Blog, mais normalement tout devrait être dispo avant ce soir. Désolée pour le contre-temps Neutral

10.06.12 18:48

Oyé ! Oyé ! je tiens à dire à ceux qui en on marre des daubes intergalactique, que Aoi Bungaku Series (littérature bleu=chef d’œuvre) existe !! Ce ne sont que des adaptation de chef d’œuvre de littérature japonaise, et sauf erreur de ma part, je crois bien que les auteur de death note se sont occupé des œuvres de Dazaï Osamu, et que tite kubo s'est occupé de l’œuvre de Sakaguchi Ango, pour les autres, je ne sais pas.

Bref, tout ceux qui veulent voir des chefs-d’œuvre, c'est ici qu'il faut regarder

Aoi Bungaku Series

Aoi Bungaku Series

Re: Aoi Bungaku Series

Re: Aoi Bungaku Series

Re: Aoi Bungaku Series

Re: Aoi Bungaku Series

Re: Aoi Bungaku Series